Arts
La Taverne est pratiquement vide. Il faut dire que peu de gens semble adopter notre routine hebdomadaire du mardi soir. La place est calme et ne rassemble que quelques habitués. Tous plus imbus d’eux-mêmes et de leur tristesse les uns que les autres. Ils ne parlent que pour s’écouter et n’écoute que pour pouvoir répliquer. Il n’y a que nous, à mon sens, qui affichent un semblant de normalité.